Présentement, la notion d’évitement expérientiel correspond à des essais de se soustraire aux expérimentations psychologiques (pensées, émotions, sensations physiques), en essayant de modifier la forme, le fréquence , l’intensité ou l’exposition à ces évènements psychologiques (HAYES & al. 1996).
La fonction des évitements n’est pas uniquement d’échapper à un contexte mais ils ont également comme conséquence que les évènements psychologiques gênants ne feront pas leur apparition.
“Si j’évite de monter dans le métro ce n’est pas uniquement pour éviter un endroit ou j’ai déjà vécu une crise de panique mais également pour ne plus ressentir ses sensations extrêmement désagréables d’accélération de mon rythme cardiaque, cette impression d’étouffer, les sueurs associées,…”
L’évitement possède donc une fonction d’évitement de ce qui est ressenti ou pensé. Continuer la lecture